DRH : un dirigeant de plus en plus virtuel?

Publié le par Paul-Emile Taillandier

  

Fotolia 19128028 XS DRH en ligne, e-DRH, DRH virtuel... On voit de plus en plus fleurir ici et là des termes qui consacrent la dématérialisation de la gestion des ressources humaines. Un phénomène qui aura toutefois ses limites... Dernière innovation en date sur le marché, le groupe Finaxim vient de lancer une nouvelle offre, DRH en ligne, qui s’adresse aux dirigeants de TPE et PME, directeurs de site, et managers. Le principe est simple : après avoir souscrit et payé en ligne un abonnement sur le site Internet de la société, vous avez la possibilité de dialoguer par téléphone avec un DRH expert © de Finaxim afin d’obtenir un éclairage sur un dossier ressources humaines. Une formule de conseil qui se veut directe, sans intermédiation, ni perte de temps en rendez-vous, et où vous ne consommez que le nécessaire. « Le conseil en ligne existe déjà sur Internet, mais les réponses des consultants sont généralement formulées par écrit, explique Emmanuel de Prémont, président de Finaxim. Le téléphone offre une plus grande richesse d’expression que l’écrit. Après une heure de communication, vous obtenez en effet une quantité d’informations sans commune mesure avec ce que nécessiterait la rédaction d’une note écrite. Ce service nous permet aussi d’être très réactif, de demander des éléments de contexte afin de bien saisir les nuances... Les clients avec lesquels on travaille apprécient ce côté humain de la réponse. C’est un peu comme s’ils disposaient de leur propre DRH. »

iMutualiser les moyens    A Sophia Antipolis, c’est une DRH virtuelle qui a été mise en place pour faciliter la création d’équipes multiculturelles comme l’explique Philippe Servetti, directeur des Investissements chez Team Côte d’Azur. « Pour attirer et fidéliser les talents du monde entier, nous avons iMutualiser les moyens nstitué ce dispositif qui permet aux DRH de la technopole de partager l’information et de mutualiser leurs moyens pour gérer les talents et leurs parcours professionnels, le recrutement international et l’assistance à la mobilité. »  Parmi les services rendus par cette DRH virtuelle figurent notamment l’obtention d’un titre de séjour pour les ingénieurs extra communautaires, la recherche d’emploi pour le conjoint, l’aide à la recherche de logement, l’intégration des nouveaux arrivants sur le territoire azuréen... « Toutes les entreprises de la technopole, quelle que soit leur taille, peuvent accéder à ces outils et services à des coûts partagés, et donc bénéficier d’économies d’échelles », précise Philippe Servetti.  LIRE LA SUITE DANS FOCUS RH  REVUE DE PRESSE

Publié dans FEMMES CADRES

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